Protocole de Gornograd : Différence entre versions

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(PROTOCOLE DE GORNOGRAD)
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Malgré nos différences et aspirations divergentes, le Zollernberg et Edoran ont permit ce traité sans précédent dans la création de la paix sur le Continent Nord et dans la très probable construction d'une unité entre ses nations. Il est évident qu'il y a eu et qu'il y aura encore des concessions à faire afin de poursuivre dans cette voie.
 
Malgré nos différences et aspirations divergentes, le Zollernberg et Edoran ont permit ce traité sans précédent dans la création de la paix sur le Continent Nord et dans la très probable construction d'une unité entre ses nations. Il est évident qu'il y a eu et qu'il y aura encore des concessions à faire afin de poursuivre dans cette voie.
 
  
 
Monsieur le Comte Klaus Störtebeker de Sabrevoix,
 
Monsieur le Comte Klaus Störtebeker de Sabrevoix,
 
Vice-Chancelier du Saint-Empire,
 
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Ministre des Affaires Etrangères.
 
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Version du 21 mars 2018 à 15:41

Texte concernant le Saint-Empire d'Edoran et le Zollernberg statuant sur le devenir territorial du Continent Nord.


PROTOCOLE DE GORNOGRAD

Les parties contractantes, à savoir,

Le Grand-Duché de Zollernberg, ci-après dénommé le Zollernberg, représenté par Son Excellence Edorel Gatline, Feld-Maréchal de Son Altesse Royale le Grand-Duc, d'une part,

et

Le Saint-Empire d'Edoran, ci-après dénommé Edoran, représenté par Son Excellence Klaus Störtebeker, Ministre des Affaires Etrangères, d'autre part,

Sous la haute bienveillance de Sa Majesté Konstantin Ier, Tsar de toutes les Russlavie,

Réunis au Palais d'Hiver de Gornograd, Russlavie,

Conviennent des dispositions suivantes :

Article Premier

Il est reconnu la souveraineté pleine et entière d'Edoran sur le territoire de l'Edredonie. Le Zollernberg renonce donc à toute prétention sur l'Edredonie.

Article 2

Les parties contractantes se reconnaissent mutuellement une zone d'influence respective intégrant leurs territoires métropolitains, leurs dépendances, le territoire de leurs vassaux, leurs eaux territoriales et leurs espaces aériens.

Chacune des parties contractantes s'engagent à ne pas pénétrer la zone d'influence de l'autre partie, et à ne pas agir de manière menaçante envers elle.

Article 3

La force militaire maritime du Zollernberg est autorisé dans les eaux du Golfe de Locquetas.

Article 4

La souzeraineté du Zollernberg est reconnue sur le territoire du Nordenmark. L'Armée Zollernoise y est exclue.

Edoran conserve un droit inaliénable et illimité de présence sur l'ensemble du territoire du Nordenmark afin d'y entretenir et y développer librement son activité économique.

La Mer du nord, baignant le littoral du Nordenmark est neutre et sans souveraineté.

Article 5

Le Zollernberg dispose d'un port civil et militaire de soutien, non offensif, sur le littoral du Nordenmark. Edoran y dispose d'un droit d'accostage en cas de nécessité. Même droit est donné au Zollernberg sur le port de soutien militaire édoranais d'Edredonie.

Article 6

Les parties contractantes reconnaissent la nécessité de promouvoir la paix dans le Micromonde et s'engagent à ne pas porter atteinte aux intérêts des nations du Continent Nord.

Le Zollernberg et Edoran s'engagent solennellement et mutuellement à ne pas entrer en conflit armé l'un contre l'autre pour quelque raison que ce soit, ni par l'intermédiaire de leurs alliés respectifs.

Le Zollernberg et Edoran s'engage à organiser des discussions diplomatiques dès que la nécessité s'en fait sentir afin d'éviter toute violation du présent protocole d'accord.

Article 7

Les indemnités de guerre dû à Edoran par le Zollernberg sont abaissées à 60 milliard d'Edo, incluant les sommes déjà versées.


Pour le Zollernberg, Son Excellence Edorel Gatline.

Pour Edoran, Son Excellence Klaus Störtebeker.

Réactions diplomatiques

29/08/2012 : Cømmuniquæ du DSHÅE de lå Cønfædæråtiøn de Scåntænøisie-Helvetiå

Lå Cønfædæråtiøn de Scåntænøisie-Helvetiå prend nøte de ce nøuveåu Tråitæ de Påix signæ entre le Saint-Empire d'Edørån et le Grånd-Duchæ du Zøllernberg. Si la Cønfædæråtiøn åpplåudit lå ræsølution søuhåitånt une påix duråble entre ces deux puissånces et sur le Cøntinent Nørd, elle regrette næånmøins plusieurs pøints de ce Tråitæ.

Åinsi, lå Cønfædæråtiøn søuhåite principålement dænøncer les årticles 4 et 5 de ce tråitæ. Les territøires de l'Øuest-scånthæløis ne sønt, n'ønt jåmpåis ætæ, et ne døivent jåmåis ætre, un territøire zøllernøis. Åu nøm de quel(s) drøit(s), le Såint-Empire et le Grånd-Duchæ s'årrøgent-ils lå døminåtion sur certåins territøires du Cøntinent? Ces territøires sønt neutres. Ils åbritent des pøpulåtions løcåles qui ne sønt pås zøllernøises et qui ne l'ønt jåmåis ætæ. Le Zøllernberg n'å rien å fåire læ-bås.

Lå Cønfædæråtiøn regrette que søn pårtenåire et åmi ædørånnåis åit dønnæ søn feu vert sur ce texte bien que lå Cønfædæråtiøn cømprenne les råisøns de cet åccørd. Lå Cønfædæråtiøn est prøføndæment dæçue.

Lå cømmunåutæ Micrømøndiåle ne døit pås se låisser åbuser pår les prømesses åffichæes et døit, une føis de plus, møntrer søn dæsåccørd prøfønd åvec certåins påssåges de ce tråitæ. Cår demåin, tøus les territøires neutres pøurrønt ætre søumis å des ånnexiøns. L'Årchipel ne døit pås entrer dåns cette løgique.

Rien dåns l'histøire ne justifie ces åctes. Rien dåns l'åctuålitæ ne l'åutørise. Le Zøllernberg et Edørån ne døivent pås s'årrøger ce drøit. Il ne leur åppårtient pås.

Lå Cønfædæråtiøn cøntinuerå de se battre pøur les våleurs qu'elle dæfend : lå Påix, l'Æcøløgie, lå Neutrålitæ des Territøires, lå Prøtectiøn des Minøritæs Indæpendåntes, lå Cøllægialitæ des dæcisiøns. Elle resterå vigilånte et dænøncerå tøus les pøints, tråitæs, dispøsitiøns...cøntråires å ses våleurs.


Åu Nøm du Træs Hønøråble Søuveråin Peuple Scånthæløis, Ulk Pinssøn, Chef du Dæpårtement Scånthæløis des Åffåires Ætrångæres


30/08/2012, Allancia, Saint-Empire d'Edoran***Communiqué du Ministère des Affaires Etrangères

Je tiens à répondre personnellement à la déclaration de Son Excellence le Chef du Département Scanthélois des Affaires Etrangères concernant les réactions de la Confédération au Protocole de Gornograd.

Pour commencer, je voudrais remettre au premier plan les grandes avancées de ce traité. Parmi celles-ci, nous nous félicitons d'avoir participé sans heurts et dans la bonne entente générale à une rencontre diplomatique inédite entre le Grand-Duché, la Sainte-Russlavie et le Saint-Empire. Nous devons nous réjouir qu'un tel sommet ait pu s'organiser entre ces Empires montrés continuellement du doigt pour leur soi-disant incapacité à négocier.

Aussi, que dire de l'article 4 qui assure la neutralité de la Mer du Nord et exclu l'Armée Zollernoise du territoire du Nordenmark, sinon qu'il a pour but d'assurer un respect de ces territoires occupés par le Zollernberg.

L'article 6 est, quant à lui, une disposition qui doit interpeller toutes les nations qui le liront sur les implacations formidables qui en découle concernant la promotion et le maintien de la paix sur le Continent Nord et l'ensemble du micromonde. Il s'agit d'une disposition que nul autre pays n'a osé écrire et encore moins signer. Il fait à lui seul du Protocole polémique, un acte de paix sans précédent.

Cet article est en lui-même une étape fondatrice et historique d'un cheminement que les nations du Continent Nord ont entreprit vers la création d'une organisation qui leurs serait propre. Le Grand-Duché, la CSH, la Russlavie, le Belondor, Armara et Edoran peuvent être fier d'appartenir au Continent où les initiatives de paix sont si clairement exprimé.

Il est dommage qu'un membre du Continent Nord aussi éminent que la Confédération n'ai pas davantage reconnu ce prodigieux engagement de paix que le Grand-Duché signa à travers ce traité.

Bien sûr, je reconnais que les principes ancestraux de la CSH soit malmené par la reconnaissance de la suzeraineté du Zollernberg sur le Nordenmark. Des élements doivent faire comprendre aux détracteurs de l'article 4 que ce dernier était indispensable en l'état.

En effet, le Saint-Empire occupe lui-même des territoires neutres et nous ne pouvons en aucun cas nous opposé de front à la suzerainté du Grand-Duché sur le Nordenmark. Lorsqu'une volonté forte d'émancipation des peuples neutres « occupés » sera formulé à la tribune de l'organisation gérant la carte de notre micromonde, nous sommes sûr que le Grand-Duché et le Saint-Empire sauront la soutenir.

La CSH a la bienveillance de ne pas s'ingérer sur ce point en Edoran, nous ne doutons pas que ce point de Gornograd ne sera pas son seul axe de communication lorsque l'on constate par ailleurs les avancées du traité.

Cet article est le fruit d'une véritable négociation car il est assortit de gardes-fous déjà sus-cités. Cette négociation fut nécessaire à la création de l'engagement de paix qui est le coeur de ce protocole, ainsi que pour éviter de graves mésententes ayant pu aboutir à une nouvelle guerre entre le Saint-Empire et le Grand-Duché.

Malgré nos différences et aspirations divergentes, le Zollernberg et Edoran ont permit ce traité sans précédent dans la création de la paix sur le Continent Nord et dans la très probable construction d'une unité entre ses nations. Il est évident qu'il y a eu et qu'il y aura encore des concessions à faire afin de poursuivre dans cette voie.

Monsieur le Comte Klaus Störtebeker de Sabrevoix, Vice-Chancelier du Saint-Empire, Ministre des Affaires Etrangères.