Principauté de Sorabe

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Principauté de Sorabe

Drapeau sorabe.png

Armes sorabe.png

Données Politiques
Langues français
belondaure
Capitale Lusance
Type de Gouvernement Autocratie militaire
Le Régent Capitaine William Z. Pearl
Premier Ministre n.c.
Ministre des Affaires Etrangères n.c.
Relations avec la CSH Aucune
Autres
Système économique Simulationisme
Bibliothèque aucune
Forum Place Publique
Site S'y rendre
Ancien site

Localisationsorabe.png
Localisationsorabe rijselhoek.png

La Sorabe (ou Principauté de Sorabe) est située sur l'une des îles de l'archipel nautien en Mer Océane en partie et depuis février 2019, sur la partie méridionale de l'île occupée jadis par le Noordzeeland.

Géographie

La Sorabe, qui a une superficie de 20'128 km², fait partie intégrante de l'archipel occidental de la Mer Océane, entre les Zorcades zollernoises, et le Cözland au Sud et ce, de 2012 à 2016. Dès février 2019, le pays s'étend également sur la partie méridionale de l'ancien Noordzeeland.

Sorabe relief.png

L'île est majoritairement constituée de montagnes et collines et le massif montagneux principal, le Mont des Sorabes, se trouve dans la partie méridionale de l’île, culminant à 1'834 mètres d’altitude.

L'île n'est pas propice en soi à un développement humain, les sources antiques la réduisent à «un roc désolé». La pauvreté de ses ressources explique en large partie que ses habitants se sont faits boucaniers afin de saisir ailleurs ce qu'ils n'ont pas chez eux. On y trouve cependant des parties planes, dont la seule réellement remarquable est celle du Lusance, au nord. Deux fleuves principaux y coulent, le Lusan et le Veran.

Le peuplement de l'île fut très récent et très largement d'origine belondaure et nautienne. On retrouvait, avant 2019, cependant des Sorabes avec des origines zollernoises, krasslandaises, et parfois yssoises.

En 2019, le Rijselhoek appartient au pays. Le climat est très froid. La province est principalement constitué de plaines côtières, mais recouvre la face sud du Massif du Geldbergen, sans inclure le sommet.

Comme l'île de Sorabe, c'est un territoire peu propice au développement humain se qui peut expliqué la chute de la Noordzeeland et l'attrait des pirates pour cette province peu peuplée.

On note un fleuve principal, le Rijselflod allant du Massif de Geldbergan à la Baie de Rijsel.

Le peuplement de l'île est largement noordzeelandais, mais on retrouve tout de même quelques édoranais, russlaves, valdisks et scanthélois.

Villes

La population se concentre dans quelques villes côtières, à savoir la capitale Lusance qui compte plus de 720'000 habitants, Verance avec 453'000 habitants, Varennes avec 109'000 habitants ou encore Belice avec 80'000 habitants et enfin Souabe avec un peu plus de 55'000 personnes. Il faut également ajouter de multiples bourgs et des petites villes à l'habitat groupé. La population du Rijselhoek est de 33'000 habitants.

Le Lusançois:

  • Lusance: 720'000 hab.
  • Varennes: 109'000 hab.
  • Bélice: 80'000 hab.
  • Garance-la-Forêt: 6'000 hab.

Le Vérançais:

  • Vérance: 453'000 hab.
  • La Combe sur Véran: 3'000 hab.

Le Souabe:

  • Port-Souabe: 189'000 hab.
  • Fort-Souabe: 92'000 hab.
  • Souabe: 55'000 hab.
  • Ville-du-Cap: 32'000 hab.
  • Hauts-de-Souabe: 1'000 hab.

Le Rijselhoek:

  • Principauté de Rijsel: 10 '000 hab.
  • Principauté de Porougelanden: 4'000 hab.
  • Duché de Kerkhove: 5'000 hab.
  • Duché de Walberg: 1'500 hab.
  • Duché de Steene: 4'000 hab.
  • Comté de Zuytkerke: 2'500 hab.
  • Évêché de Sint-Jonas: 3'000 hab.
  • Consulat de Westkerke: 3'000 hab.

Organisation territoriale

Le pays était divisé en trois unités administratives appelées Provinces (2012-2016) puis quatre Régions (dès 2019):

  • Le Lusançois
  • Le Vérançais
  • Le Souabe
  • Le Rijselhoek (dès 2019)

Démographie

En 1904 (2014), le pays revendiquait 2'080'254 de Sorabes. Le pays compte, en février 2019 (1909), 1'740'000 habitants.

Religion

L'état rapportait en 2016 que 40% de la population se réclamait du Syisme et 1% de l'Hébraisme. La majorité de la population croyante se réclamait de la confession syiste. La Cathédrale Saint-Sigismond en était le centre névralgique. Pour autant, elle restait un vernis sur un peuple converti en surface. Plus de la moitié de la population se déclarait athée. On comptait également une petite communauté hébraite dans les villes portuaires.

En 2019, de nouveaux chiffres présente une nouvelle réalité religieuse dans le pays: Bien qu'il n'y ait pas de religion d'État, la religion dominante est le Syisme, même si le Zorthodoxisme et le culte de St-Krassimir sont également bien présents. L'île compte également de faibles communautés hébraïstes et halawites.

Au Rijselhoek, la religion est un peu plus présente et sincère que sur l'île de Sorabe. Un culte autocéphale issue de la Sainte Eglise Apostolique (religion historique de la Noorzeeland) est majoritaire. Suivi de l'Éthérisme, de le Cathodoxie-Orthodisme et du Colvinisme.

Histoire

Histoire pré-ludique

L'île de Sorabe n'entra dans l'Histoire qu'en 1151, date de sa découverte par des repris de justice belondaure. La légende veut que les frères Sorabe, poursuivis par la justice belondaure car accusés de meurtres, de viols en réunion et de rapts, aient pris pied dans l'actuel golfe de Lusance le 12 mars 1151. L'île présentait alors de nombreux inconvénients. Elle était difficile d'accès car ceinturée de falaises et ses plateaux étaient rocailleux et trop inclinés pour permettre une agriculture efficace. Montagneuse et avare en ressources, l'île convenait néanmoins aux frères fugitifs en raison de son isolement et de son caractère vierge.

Olivier le Hideux dit Couille de Fer et Léandre l'Affreux dit Grand Martel fondèrent la même année la ville de Lusance et s'en proclamèrent co-seigneurs. Rapidement, Lusance devint le refuge où la pire canaille de tout le continent se retrouva. Dans les années suivantes, les villes de Belice et Verance furent fondés. Hargneux et batailleurs, les deux frères firent de l'île une plaque tournante de la piraterie en Mer Océane, pourtant ces traits de caractère vinrent se retourner contre eux.

En 1164, Couille de Fer et Grand Martel s'affrontèrent en combat singulier, et, ironie du sort, se tuèrent l'un l'autre.

Pendant trois siècles, la piraterie et le crime organisé se développèrent. L'île fut de temps en temps unifiée par un capitaine plus courageux que les autres, mais les efforts pour construire une véritable société furent vains. Comme le commente les chroniqueurs belondaure de l'époque, l'île «est un repère de barbares et de brigands, tous sont dénués d'esprit ou d'instruction. Ils vivent et se prélassent dans la luxure. Dès que l'un d'entre eux tente de les organiser un peu, il est assassiné sauvagement pour un prétexte quelconque, comme la couardise au combat ou la répugnance à s'enivrer

En 1410, le Belondor excédé par ses boucaniers qui mirent à mal son commerce maritime, décida l'envoi d'une grande flotte pour écraser définitivement la piraterie. Les navires y furent coulés et les pirates exterminés. Les survivants se réfugièrent dans les montagnes du centre et fondèrent Souabe en 1410. Dans le même temps, le Belondor annexa l'île, fonda la ville de Varennes et y introduisit la foi syiste, et plus largement la civilisation et l'état de droit.

Pendant trois siècles, l'île sortit de l'Histoire, elle ne fut qu'une modeste possession du Belondor où se déversait en partie son trop-plein démographique. La capitale de l'île Varennes, mais surtout Lusance se développèrent et devinrent rapidement d'importantes villes commerciales et culturelles, connues dans toute la Mer Océane. Pour autant, la piraterie ne disparut pas. Elle fut comme le dira un chroniqueur nautien «ancrée dans l'âme de ces insulaires». Plusieurs capitaines firent de célèbres raids pour le compte du Belondor.

En 1759, le Belondor connut sa Grande Révolution. Les grandes guerres qui en découlèrent conduisirent tout d'abord le continent à se désintéresser de l'île, puis à l'abandonner aux locaux, qui revinrent à la plus complète anarchie.

En 1876, le plus grand capitaine de l'île se proclama Prince-Amiral de Sorabe et fonda ainsi le premier État de Sorabe. Rapidement, il construisit le grand port militaire de Port-Princier et se livra à la guerre de course dans la Mer Océane. Ses rapines lui permirent d'amasser un colossal butin, qu'il utilisa en partie pour le développement de l'île. Le palais-Mitau fut construit en 1888, la cathédrale de Saint-Sigismond en 1893. On lui doit également l'inexpugnable Fort-Sorabe en 1896 et le réseau routier et ferroviaire (1880-1902). Sous la pression des idées nouvelles, il accorda à la population une constitution et créa une Assemblée des Sorabes libres, copie du Sénat belondaure, sans pouvoirs réels avec un rôle purement consultatif.

Comme de coutume en Sorabe, il mourrut au combat en 1904. Gravement blessé lors d'un affrontement avec une canonnière armaréenne, il coula avec son navire. Le pouvoir échu alors à son fils, Frédéric Ier.

Histoire ludique

Le pays fut actif entre 2012 et 2016. En février 2019, le pays renaît avec le Rijselhoek rattaché à son ancien territoire.

Institutions

Exécutif

Le premier Prince-Amiral de Sorabe fut Charles Ier. Il profita du retrait belondaure et de sa grande popularité pour s'auto-proclamer Prince-Amiral. Le dernier détenteur du titre fut Frédéric Ier. Les titres du Prince-Amiral sont le fruit de l'histoire passée et récente de Sorabe. Le premier à porter cette titulature fut Charles Ier. Le Prince-Amiral de Sorabe fut amiral, comme s'en sont décorés tous les Grands Capitaines de Sorabe. Il porta également le titre de seigneur de Lusance, comme héritage des frères Sorabe.

Le régent prend le pouvoir en mai 2014 quelques mois après la disparition en mer du Prince Frédéric Ier. Il devient désormais le Chef de l'État. La fonction princière est abolie. Le Régent réside au Palais Mitau, qui était autrefois la résidence du Prince.

Le Régent est assisté du Conseil des Grands Capitaines qu'il préside. Il équivaut à un gouvernement. Les Grands Capitaines sont des capitaines pirates sorabes et autonomes. Il bénéficie d'une grande immunité dans leurs actes de la vie quotidienne aussi immoraux ou illégaux qu'ils puissent être. En échange, ils mettent leur navire (ou leur flotte, s'ils ont plusieurs navires) au service de la défense ou de l'enrichissement de la Principauté. Ils sont une dizaines et sont à la tête de la société sorabe.

Législatif

En 2012 et 2014, l'Assemblée des Sorabes libres fut une réforme due à Charles Ier. C'était une chambre purement consultative sans pouvoir législatif réel. L'idée était d'imiter le Sénat belondaure et de tenter vaguement de donner une légitimité au nouveau pouvoir. Très concrètement, cette assemblée n'était qu'un paravent, reste des anciens conseils de piraterie.

Dès 2014, l'Assemblée des Sorabes Libres est une instance consultative composé de représentant des marchants, des pécheurs, des ouvriers, des artisans, des habitants des villes, des habitants des campagnes, des cultes, etc. La plus grande opacité réside dans la nomination de ces représentants et dans les fait l'Assemblée serait plutôt une grande salle où entre et s'exprime n'importe qui qui le souhaiterai. Il semble que le Régent n'est jamais pris connaissance de la moindre délibération de cette Assemblée dont il ignora pendant longtemps jusqu'à l'existence.

Armée

L'armée terrestre fut largement délaissée au profit de la flotte. La défense de l'île fut confiée à un régiment de réserve de cinq mille hommes. Cette unité était mal équipée et composée de la lie de la population. On comptait en revanche deux régiments d'active de grande qualité. Le 1er régiment princier fut une sorte de garde prétorienne, tandis que le second, cantonné à Fort-Souabe, fut une unité destinée à effectuer des opérations de pillage des rivages lors des opérations de la flotte.

En 1904, la Principauté entretint une dizaine de destroyers et de frégates ainsi qu'une vingtaine de vedettes. Cette flotte, première dépense mais aussi première ressource de l'île, mouillait à Lusance et à Belice. À ces vaisseaux-là, il faut ajouter la multitude de navires particuliers, allant de la frégate jusqu'à l'humble sloop.

Politique

Aucun réel parti politique n'existe dans le pays mais on retrouve des factions politiques:

  • Les Modernistes sont ceux qui veulent bâtir un État moderne. Le Belondaure, quoique détesté, est pris comme modèle. L'idée n'est pas de créer un État moderne et une monarchie constitutionnelle classique, mais seulement de donner à l'île les moyens d'augmenter et de fortifier la flotte pirate, pour accroître leurs rapines. Ils sont à ce titre, très partisan du pouvoir du Prince-Amiral.
  • Les Traditionalistes souhaitent revenir au mode de vie séculaire des pirates de Sorabe, fait de vins, de rapines et de femmes. Ils étaient attachés aux vieilles valeurs de camaraderie, d'égalité et de joyeuse anarchie. Aussi, il maugréent contre le Prince-Amiral et ses réformes, qui passe seulement pour un maître capricieux acharné à détruire l'ancien monde.
  • Les Paysans et ouvriers, vexés d'être sans cesse traités de «bouseux», de «terriens» et de «scarabées» par les marins et corsaires de l'île, se sont unis sous cette bannière afin de faire entendre leur voix.

Culture et Éducation

Sur le plan intellectuel, un peu moins de la moitié de la population se déclarait analphabète avant 2019.

Économie

La monnaie légale et nationale est le Sor. Les Sorabes ont de tout temps tentés leurs chances sur la mer pour compenser l'avarice en ressources de leur île. Ils étaient avant tout marins et pêcheurs. On comptait pourtant des activités terriennes traditionnelles comme la production d'agrumes et de vins, sur les bas coteaux des montagnes du centre. Dans les dernières décennies, l'île se modernisa et s'industrialisa. Alors qu'autrefois, elle était le cadre de récurrentes émeutes frumentaires, les historiens économiques présidaient que le pays atteindrait le cap d'autosuffisance alimentaire dans les décennies suivant 1904. De même, les Sorabes commencèrent à exploiter de façon productiviste les filons de fer et d'aluminium des Monts Sorabes.

Symboles

En juin 2016, une commande est passée au CMV afin de confectionner les Armoiries du pays ainsi que les Armoiries du Cpt. William Z.Pearl. En octobre de la même année, les Armoiries nationales sont à nouveau modernisées par le CMV.

L'hymne national était «Sorabe, la liberté ou la mort !» et la devise du pays était «Liberté, unité, patrie !».

Le CMV réalisa les armoiries du Capitaine William Z. Pearl ainsi que les armoiries nationales du pays en juin 2016.

Relations avec la CSH

La CSH n'entretint aucune réelle relation diplomatique officielle avec Sorabe de 2012 à 2016. En revanche, le pays entretint des relations diplomatiques avec le Krassland, l'URO, avec Ys et avec le Valdisky.

Département Scanthélois Affaires Etrangères

Organisation
Archipel - Ligue des États Modernes - Zone Économique de Libre Échange Nordique - Organisation des Nations de l'Archipel - Grande Alliance
Nations Reconnues
Abalecon - Avaricum - Biéloslavie - Edoran - Francovie - Gwangua - Krassland - Liberistant - Ligue ED - Livadia -

Mézénas - Prya - Russlavie - Skotinos - Transocéanie - Valdisky - Véran - Zollernberg

Pays Sans Activité Reconnus ou Intégrés
Freineubourg - Sri Pātnārāt
Nations Reconnues et Disparues
Aldara - Armara - Athlétia - Belondor - Cité des Glaces - Cocagne - États du Sud - Fantispa - Fradeu - Kolozistan - Libertas -Lienenberg - Locquetas - Maurésie - Métropolibre - Nadür - Nautia - Orion - Pirée - Rileko - Sverige - Syldavie - Ydemos - Ys
Nations non Reconnues
Bangana (Rép.) - Bangana (Roy.) - Belgoge - Eiraen - Mézéee - Sinésie - Sorabe
Nations non Reconnues et Disparues
Aldarnor - Amyria - Anarchland - Angmar - Argentorate - Arsgentyne - Ayala - Azeck - Bhoustani - Bretzelbourg - Bretzelburg - Cözland - Daoude - Deltarie - Edredonie - El Futuro - Eraluse - Eridan - Esialie - Fanz - Gallice - Ghawana - Héalie - Hubanie Maritime - Jaminaica - Kalésie - Katharsys - Kindistan - Krassauerstein - Laurasie - Legoslavie - Madha - Manutoba - Mazambala - Méniro - Mnibet - Néié - Noordzeeland - Norduska - Norvas - Nouvelle-Caucasie - Nyvélia - Ostaria - Panaconda - Persis - Poldévie - Républiques Orionnaises - Sainte-Croix - San Pedro - Sant Eustaquy - Saraland - Siegburg-Helzonie - Silverland - Sud-Ouest Démocratique - Thaurus - Tolpan - Turcosie - Umujo - Verlor - Vladivaïa - Wasteland - Ysiriam
Traités
Aarosia I - Aarosia II & Annexe - Aarosia-Pyedné & Annexe - Arendel - Aldden-Kaora - Allancia - Bergenberg - Bonsecours - Bonsecours II - Brøkinshåvn - Chabot - Cocagne - Dangloyre - Ébur - Elbêröhnit - Golfe de Locquetas - Havnsthor - Helvia - Hudiksvall/ZELEN - Kaïtaïn - Kaora - Krassfürt-am-See - Micropolia - Mont-Pharys - Novosk - Philippeville - Rabat - Scanie - Sorlop - Svetivostok - Travna - Travna II - Wafa - Ydemos
Traités internationaux
Traité de Bonne-Espérance - Charte de la LEM - Traité des Nations - Traité de Talamanca - Traité de Zozolulu - Texte de Veledris - Traité d'Association ZELEN (2019)
Documents de voyage
Passeports scanthélois & frenobourgeois